Enormément
de sites sur le sujet (japonais, américains, puis maintenant français) ont fleuri,
montrant l'engouement du public pour ces manifestations.
Un
Piccolo sacrément bien réussi !
La
teinture est appliquée directement sur le corps.
Peut-être trop
hiérarchisé avec plein de liens dans tous les sens, il a cependant une grande
richesse iconographique. Leurs auteurs comprenant le français, ils ont fait également
référence à quelques sites français (dont les suivants).
En France,
on en a de très complets comme celui de Marc Coolen,
qui a choisi de squatter chez plusieurs hébergeurs pour avoir un max de place:
Animaniac
site:
Pour Celia, encore bravo pour ses costumes.
Nous ne pouvons
parler ici de Cosplay sur Internet sans parler
de notre propre site. Faisant preuve d'originalité dans ce domaine, comme la version
papier de notre fanzine, il est le seul sur la Toile à révéler les secrets de
fabrication de ses propres costumes (notamment ceux utilisant le latex : Buju
dans Urotsukidoji, Hydargos
dans Goldorak, et Kami-Sama
(Dieu) dans Dragon Ball).
D'autres encore,
plus modestes mais à l'esthétique irréprochable présentent
des photos d'autres Cosplayers lors des conventions en France, comme celui de
Nunki (Cosplay Paradise):
Capsule
Inc.
2- POURQUOI ÇA MARCHE EN FRANCE ?
Pour expliquer
le succès croissant du Cosplay en France,
il faudrait d'abord en situer le contexte d'origine.
Vers la fin
des années 70, nous étions des centaines à vibrer le mercredi après-midi devant
le petit écran, assistant aux combats épiques du Prince
d'Euphor ou à la lutte du Shériff
de l'Espace contre les ignobles C-Rex.
Fascinés par l'arrivée en France de Dessins Animés japonais, comme Goldorak,
Albator, Candy,
la Bataille des Planètes, ou bien de séries
Live comme Spectreman, X-Or,
ou San Ku Kaï, notre imaginaire étriqué s'en
est retrouvé libéré.
Tiens ça me dit quelque chose ! (1981)
A cette époque,
qui ne s'est pas déguisé au moins une fois en Ryu
(ou Ayato) de San
Ku Kaï ou même joué à Goldorak
à la Récré ? Osez le dire ! Je pense qu'il doit y en avoir quand même un certain
nombre (à commencer par moi et mon petit frère, voir ci-contre).